Salut tout le monde! Nouvel épisode dispo!
Cette semaine, programme des sorties automnales! Nous vous proposons de revenir sur des films d’actualité, comme toujours, et une carte blanche pour conclure l'émission.
Pour commencer, nous avons toutes et tous regardé le dernier Martin Scorsese Killers of the Flower Moon. Cette fresque revient sur un point sombre de la construction des États-Unis: l'assujettissement du peuple amérindien Osages. Chef-d'œuvre, bon film ou récit problématique, tout ce qui est sûr, c'est que ce visionnage a suscité de vives discussions au sein de l'équipe.
Après ce monstre du cinéma, nous vous proposons de découvrir un film de science-fiction français, le très bon Le Règne Animal de Thomas Cailley. Sorti de nulle part, ce film interroge notre rapport à l'altérité et les réponses que l'humanité lui a donné, hésitant entre assimilation forcée et cohabitation.
Luca nous parle ensuite de Saw X, de Kevin Greuter. Dernier volet de la saga Saw dans la veine des premiers. Au rendez-vous, violence, gore. Aurez-vous le courage de sauter le pas?
Changement de style pour aborder Une année difficile, réalisé par Éric Toledano et Olivier Nakache. Roman et Lorenzo l'ont vu à l'occasion d'une projection offerte et c'était le minimum exigé pour les obliger à voir ce manifeste bourgeois.
Théa revient ensuite brièvement sur un film sorti il y a un certain temps déjà, mais toujours en salle. Il s'agit de The Creator, de Gareth Edwards. Si le sujet intrigue, la réalisation ressemble étrangement à d'autres films d'une saga chère à Edwards...
Finalement, Roman et Lorenzo se sont de nouveau fait violence en allant voir Passages d'Ira Sachs. Hipster, artsy, mais finalement très vide de sens, ils vous en disent plus sur leur déception amère.
La carte blanche de cette semaine est assurée par Lorenzo et porte sur Phantom of the Paradise du génialissime Brian de Palma. Ne ratez surtout pas cette séquence!
C’est tout pour nous pour cette semaine! Retrouvez-nous dans deux semaines avec encore plus d'actualités cinématographiques. D’ici là, bonne écoute à toutes et tous et n’oubliez pas d’aller au cinéma!
